VOYAGE 2024
Projet de voyage
Les grands sites d'Occitanie
septembre 2024
Les grands sites d'Occitanie
septembre 2024
Les personnes intéressées doivent contacter J.Paul BOURRE au 05 55 72 10 78 ou 06 89 03 43 16 avant le 23 Décembre
VOYAGE 2023
Escapade à PORTO
du 10 au 14 septembre 2023
du 10 au 14 septembre 2023
Photos disponibles : Cliquer : ici
Mais ne vous privez surtout pas du plaisir de lire le récit alerte, imagé et plein d’humour rédigé
par M. Guillaumie au sujet de cette escapade à Porto et sa région.
Mais ne vous privez surtout pas du plaisir de lire le récit alerte, imagé et plein d’humour rédigé
par M. Guillaumie au sujet de cette escapade à Porto et sa région.
Dimanche 10 septembre, il est bien tôt mais, dès 5H30, la place du cinéma s’éveille. Ce n’est pas une sortie de boite de nuit mais à voir les valises qui quittent les coffres des voitures, c’est bien le 3ème Age qui part en vadrouille. Les retrouvailles sont chaleureuses et les discussions s’interrompent dès que le car DELBOS arrive.
Le départ se fait à l’heure précise ni retard, ni absent ce qui augure d’un bon voyage.
Pourtant, en regardant bien, l’inquiétude se lit sur de nombreux visages. Non ce n’est pas LE PORTUGAL ni PORTO qui inquiètent. En écoutant les conversations on voit bien que c’est l’avion qui interroge ceux qui le prennent pour la première fois et surement aussi les autres.
Est-ce que la valise est aux bonnes dimensions et le sac de cabine aussi ? Est-ce que mes bagages pèsent trop ? Ai-je laissé « L’OPINEL » à la maison. Et ma carte d’identité,
et ma fiche d’embarquement, que sais-je encore…
Le jour pointe, nous voilà à AULNAT. Les formalités d’embarquement se passent comme une lettre à la poste et nous voilà près de notre avion dont les moteurs ronronnent déjà. Un BOEING 737, pas de la première jeunesse mais en bon état, avec 2 fois 3 rangs de passagers séparés par une petite allée centrale.
Les stewards de RYANAIR nous rappellent par le geste et la parole les consignes de sécurité. Enfin quand je dis par la parole, personne ne comprend rien, car aucune consigne n’est exprimée en FRANÇAIS, ce qui est bizarre pour un départ de CLERMONT FERRAND avec pratiquement que des FRANÇAIS à bord.
10 heures c’est le départ. Le ciel est dégagé, avec quelques nuages épars, ce qui permet, lorsqu’on est près des hublots, de voir en bas le relief de FRANCE ET D’ESPAGNE avec quand même bien des difficultés pour savoir ce qu’on survole.
Bref, après 2 heures de vol, nous atterrissons à PORTO et le miracle du décalage horaire fait qu’il n’est que 11 heures.
On récupère la valise sur le « tourniquet » et, en sortant, on voit dans la foule qui attend une petite jeune fille avec un panneau « FITOUR » dans les bras. C’est ANNA qui, « sardine au bout du bâton », sera notre guide et interprète.
Nous traversons cet aéroport récent et nous rendons au car qui nous conduit au centre-ville de PORTO.
Histoire de se faire les jambes, on se promène un peu et on descend vers les quais du DOURO. On aurait pu, pour cela, emprunter l’escalier de 250 marches, mais on ne nous l’a pas proposé et c’est heureux puisqu’un funiculaire, ancien certes mais tellement pratique, nous a conduit au même endroit sans effort.
Balade le long des quais d’où l’on aperçoit les 6 ponts (dont 2 métalliques qui nous rappellent GARABIT et qui sont d’ailleurs l’œuvre de Gustave EIFFEL ou de son disciple). Voilà notre premier repas au PORTUGAL et il est le bienvenu car depuis tôt ce matin nous n’avons rien pris et l’estomac de certains réclame.
Pour digérer, nous traversons à pied le DOURO sur ce pont métallique emprunté aussi par le tout nouveau métro dont la construction n’est pas achevée.
Enfin, vous vous en doutez bien, on a de suite eu la bonne idée de faire connaissance avec ce nectar qu’est le vin de PORTO avant de nous rendre à notre hôtel.
Un bel hôtel grand, plus de 200 chambres, tout récent avec piscine au 15ème et au 2ème étage.
C’est le moment où on cherche son cadenas de valise, ou le code d’ouverture de sa valise, ou comment on fait pour ouvrir sa porte avec la carte magnétique, voire comment on allume la lumière ou la TV. Bref des moments plus amusants que stressants!
On dinera là tous les soirs à 20 heures.
Le départ se fait à l’heure précise ni retard, ni absent ce qui augure d’un bon voyage.
Pourtant, en regardant bien, l’inquiétude se lit sur de nombreux visages. Non ce n’est pas LE PORTUGAL ni PORTO qui inquiètent. En écoutant les conversations on voit bien que c’est l’avion qui interroge ceux qui le prennent pour la première fois et surement aussi les autres.
Est-ce que la valise est aux bonnes dimensions et le sac de cabine aussi ? Est-ce que mes bagages pèsent trop ? Ai-je laissé « L’OPINEL » à la maison. Et ma carte d’identité,
et ma fiche d’embarquement, que sais-je encore…
Le jour pointe, nous voilà à AULNAT. Les formalités d’embarquement se passent comme une lettre à la poste et nous voilà près de notre avion dont les moteurs ronronnent déjà. Un BOEING 737, pas de la première jeunesse mais en bon état, avec 2 fois 3 rangs de passagers séparés par une petite allée centrale.
Les stewards de RYANAIR nous rappellent par le geste et la parole les consignes de sécurité. Enfin quand je dis par la parole, personne ne comprend rien, car aucune consigne n’est exprimée en FRANÇAIS, ce qui est bizarre pour un départ de CLERMONT FERRAND avec pratiquement que des FRANÇAIS à bord.
10 heures c’est le départ. Le ciel est dégagé, avec quelques nuages épars, ce qui permet, lorsqu’on est près des hublots, de voir en bas le relief de FRANCE ET D’ESPAGNE avec quand même bien des difficultés pour savoir ce qu’on survole.
Bref, après 2 heures de vol, nous atterrissons à PORTO et le miracle du décalage horaire fait qu’il n’est que 11 heures.
On récupère la valise sur le « tourniquet » et, en sortant, on voit dans la foule qui attend une petite jeune fille avec un panneau « FITOUR » dans les bras. C’est ANNA qui, « sardine au bout du bâton », sera notre guide et interprète.
Nous traversons cet aéroport récent et nous rendons au car qui nous conduit au centre-ville de PORTO.
Histoire de se faire les jambes, on se promène un peu et on descend vers les quais du DOURO. On aurait pu, pour cela, emprunter l’escalier de 250 marches, mais on ne nous l’a pas proposé et c’est heureux puisqu’un funiculaire, ancien certes mais tellement pratique, nous a conduit au même endroit sans effort.
Balade le long des quais d’où l’on aperçoit les 6 ponts (dont 2 métalliques qui nous rappellent GARABIT et qui sont d’ailleurs l’œuvre de Gustave EIFFEL ou de son disciple). Voilà notre premier repas au PORTUGAL et il est le bienvenu car depuis tôt ce matin nous n’avons rien pris et l’estomac de certains réclame.
Pour digérer, nous traversons à pied le DOURO sur ce pont métallique emprunté aussi par le tout nouveau métro dont la construction n’est pas achevée.
Enfin, vous vous en doutez bien, on a de suite eu la bonne idée de faire connaissance avec ce nectar qu’est le vin de PORTO avant de nous rendre à notre hôtel.
Un bel hôtel grand, plus de 200 chambres, tout récent avec piscine au 15ème et au 2ème étage.
C’est le moment où on cherche son cadenas de valise, ou le code d’ouverture de sa valise, ou comment on fait pour ouvrir sa porte avec la carte magnétique, voire comment on allume la lumière ou la TV. Bref des moments plus amusants que stressants!
On dinera là tous les soirs à 20 heures.
Le lendemain est consacré à la visite de PORTO, ville classée au patrimoine de l’humanité. On retiendra les vieux quartiers avec les maisons décorées de carreaux de faïence, les petites rues et la rue commerçante SAINT CATHERINE. On visite l’église de CLERIGOS et l’énorme marché aux fruits, légumes, fleurs,pâtisseries, viandes, poissons… marché reconstruit récemment et ouvert 7 jours sur 7 et 365 jours par an. On dégustera le PASTEL DE NATA avec le café avant de nous rendre à la gare centrale. Les murs du hall sont couverts de faïence bleue« azulejos » reprenant les scènes de vie du Portugal : l’agriculture, l’élevage, la faïence, le sel, les transports, les découvertes…un hall magnifique qui fait que cette gare est une des plus jolies du monde. On retiendra aussi que les façades des bâtiments anciens, classées au patrimoine de l’humanité ,sont étayées afin de les préserver pendant qu’on construit de façon classique l’arrière du bâtiment. Il est interdit de détruire ces façades de bâtiment. Excellent déjeuner, dont on se souviendra longtemps de la façon de servir les 4 viandes présentées chacune en brochettes et découpées en lamelles au-dessus de l’assiette par un couteau aiguisé et manipulé de main de maitre. Il était prudent de « ranger tout ce qui dépasse !!! » ? L'après midi c’est la visite de palais de la bourse et la promenade en bateau sur le DOURO puis le retour vers l’hôtel en passant par la route qui longe la côte jusqu’à l’embouchure du DOURO : Magnifique. |
Mardi nous partons tôt vers AVEIRO, « VENISE portugaise » ville magnifique par ses maisons, ses faïences en relief et ses trottoirs pavés en blanc avec des figurines de pavés noirs : mouettes-bateaux… La promenade sur les canaux est un délice, et là encore nous avons dégusté les petites pâtisseries locales : « OVOS MOLES », arrosées d’un verre de vin local le VINHO VERDE. Apres le repas « cochon de lait » départ vers COIMBRA, ancienne capitale et ville universitaire renommée. Nous visiterons là des salles somptuaires : salle des armes, salle des rites, chapelle et en particulier la bibliothèque, une des plus riches au monde. La descente vers la ville nous fait découvrir les bâtiments, églises et monuments dont la ville regorge. Heureusement que cette randonnée pédestre s’est faite en descendant car cette ville est bâtie sur une colline et la pente est abrupte. |
Mercredi est consacré à un secteur élevé de la région de PORTO (sommets à 1400mètres), vers BARCELOS-BRAGA et GUIMARES. C’est un secteur artisanal, mais aussi économique et particulièrement religieux puisqu’on dit que BRAGA est la ROME portugaise. Le site du BOM JESUS est remarquable par sa cathédrale, ses escaliers et ses jardins où une grotte reconstituée rappelle la grotte de LOURDES Nous visitons à pied GUIMARES, capitale européenne de la culture en 2012 C’est à midi qu’on a mangé le véritable BACAILHAU. Avant de rentrer nous nous rendons à la fabrique de «PAO DE LO » pâtisserie de type génoise que nous dégustons avec un petit porto. Cette pâtisserie fournit, excusez du peu, la maison royale et ducale de BRAGANCE |
Jeudi est déjà notre dernier jour.
Nous nous rendons à GONDOMAR pour visiter un artisan qui travaille l’argent en filigrane. Tout le monde a été impressionné par l’adresse et la minutie de ces personnes qui fabriquent devant vous des bijoux d’une finesse de fabrication remarquable Apres le déjeuner, c’est le transfert vers l’aéroport. L’inquiétude a disparu, sauf peut-être pour ceux qui ont forcé sur le porto dans la valise et qui ont peur que cette dernière ne dépasse les 20 kg. Retour à AULNAT en survolant la mer. A AULNAT, l’atterrissage a été quand même un peu, je dirais « rustique », ce qui a surpris tout le monde. En retournant sur USSEL, on pense déjà aux futurs voyages… mais c’est une autre histoire. |